🎣 Comité Français De Lutte Contre L Hypertension Artérielle
Ecritpar Webmaster CFLHTA le 1 octobre 2020. L'automesure de la tension consiste à mesurer sa tension le matin (3 mesures) et le soir (3 mesures) pendant 3 jours de
Communiquéde Presse conjoint Société Française d’Hypertension Artérielle (SFHTA) – Comité Français de Lutte contre l’Hypertension Artérielle (CFLHTA) Actualités HTA, Actualités médias, Epidémiologie Par Le comité Webmaster 24/06/2019. Paris, le 24/06/2019 La France va subir cette semaine une période de canicule importante. Les effets sanitaires potentiels de ce type d
Itis Comité Français de Lutte contre l'Hypertension Artérielle. Comité Français de Lutte contre l'Hypertension Artérielle listed as CFLHTA Comité Français de Lutte contre l'Hypertension Artérielle listed as CFLHTA
pagebrochures hypertension artÉrielle Il s’agit des brochures d’information du Comité Français de Lutte contre l’Hypertension Artérielle (CFLHTA). Les 10 documents ci-dessous sont consultables et téléchargeables sous forme de Fichier PDF.
8 conseils de patients hypertendus aux autres patients” 1. Organisez le dépistage de votre hypertension artérielle et allez rapidement voir un médecin en cas d’anomalie, même en l’absence de troubles. 2. Faites-vous expliquer les
ComitéFrançais de Lutte contre l’Hypertension Artérielle). Pourquoi l’hypertension artérielle est-elle un problème de santé publique ? L’hypertension artérielle est une affection qui touche une grande partie de la population. Une étude récente, portant sur près de 30 000 sujets français, a montré qu’à partir de l’âge de 55 - 60 ans, près de 50 % des sujets sont
PrJean-Jacques MOURAD - Past-président du Comité Français de Lutte contre l'HyperTension Artérielle (CFLHTA) Désolé, votre navigateur ne peut pas lire cette vidéo. Réalisation : Gaël de Vaumas - Mandaté par CFLHTA Source : Press Tv News - Publiée le 15 décembre 2014 « Le lien entre l’HyperTension Artérielle (HTA), les troubles de la mémoire et la maladie d’Alzheimer est
Crééen 1972, le Comité Français de Lutte contre l'Hypertension Artérielle ( CFLHTA) est une association régie par la loi de 1901. D’après une étude réalisée à la demande du Comité français de lutte contre l’hypertension artérielle, 30% des plus de 35 ans sont traités par un médicament antihypertenseur. Mais.
dune hypertension artérielle et pour aider à trouver le meilleur traitement. Pour cela, la haute autorité de santé (HAS) et le Comité Français de Lutte Contre l’Hypertension Artérielle (CFLHTA) recommandent d’appliquer : la règle des 3 • 3 mesures le matin , • 3 mesures le soir, • 3 jours de suite. De récentes études
ciBSf. Ecrit par Webmaster CFLHTA le 24 octobre 2011. Par courrier 5 rue des colonnes du Trône 75012 Paris Par e-mail info Pour recevoir un document édité par le CFLHTA, nous vous remercions d’envoyer votre demande en utilisant l’adresse email ci-dessus en n’omettant pas de donner vos propres coordonnées. Conformément à notre déontologie, les messages assimilables à une consultation via Internet ne seront pas pris en compte.
SantéHypertensionJusqu’à présent, les recherches n’avaient pas permis de pointer précisément du doigt les facteurs, en dehors d’une prédisposition génétique, pouvant accroitre les risques d’Alzheimer. Une étude publiée, hier, dans la revue Neurology apporte une piste supplémentaire sur le lien entre cette maladie et la pression artérielle. © Alzheimer un lien établi avec la tension artérielle chez les personnes âgéesDès 2014 et à l’occasion de la Journée Nationale de l’HTA Hypertension artérielle, le lien entre l’hypertension et le risque de développer la maladie d’Alzheimer avait été établi. Et même officialisé par le Comité Français de Lutte contre l’Hypertension Artérielle qui avait lancé la campagne de prévention l’hypertension fait perdre la tête ». Trois ans plus tard, c’est une étude menée à Chicago, aux Etats-Unis qui vient étayer ce constat. Explications. Des analyses post-mortemPubliés dans la revue Neurology, le 11 juillet dernier, les travaux se sont davantage concentrés sur l’impact négatif de la pression artérielle sur les tissus cérébraux des personnes âgées. Menée à la clinique Rush Memory qui dépend du Centre de recherche Rush sur la maladie d’Alzheimer, dans l’Illinois, l’étude s’est appuyée sur l’observation de personnes âgées de 59 à 102 ans. Ces sujets ont été suivis, en moyenne pendant 8 ans, jusqu’à leur décès. Les scientifiques ont alors procédé à une autopsie afin de déceler d’éventuelles lésions cérébrales pouvant indiquer des signes d’Alzheimer. Cette maladie neuro-dégénérative est généralement caractérisée par la présence de plaques amyloïdes et une accumulation de tau, une protéine qui se propage tel un virus dans le cerveau et endommage, voire tue, les cellules cérébrales. Infarctus cérébraux et tension élevéeTout au long de l’étude, la plupart des sujets présentait, en moyenne, une tension de 134/71 mmHg, ce qui est considérée comme une pré-hypertension, selon l’American Heart Association qui indique que l’idéal doit être de 120/80 mmHg ou en-dessous. Les scientifiques ont constaté que les participants qui avaient eu une tension plus élevée au cours de leur vie présentaient davantage de lésions cérébrales avec des zones de tissus cérébraux endommagés suite à une absence d’apport sanguin. Ces zones d’infarctus cérébraux, qui peuvent mener à une attaque, passent parfois complètement inaperçues. Une sur-présence de la protéine Tau a également été remarquée chez les patients présentant une pression artérielle plus élevée. De plus, les chercheurs ont constaté qu’une augmentation de la pression systolique de 134 mmHg à 147 mmHg accroissait de 46% les risques d’infarctus cérébraux. Des recherches à approfondirDans des propos rapportés par Time Magazine, le professeur Zoe Arvanitakis, qui a participé aux travaux, souhaite légèrement nuancer les résultats Au vu de ce que nous savons déjà sur le lien entre la pression artérielle et les attaques cardio-vasculaires, nous pouvons penser que c’est potentiellement et biologiquement possible qu’une altération de la pression sanguine lorsqu’on vieillit puisse conduire à des infarctus cérébraux ». Mais de préciser aussi que l’étude ne montre pas pour autant que c’est bel et bien une pression artérielle élevée qui cause des lésions cérébrales. D’autres recherches plus approfondies doivent être faites pour confirmer cette corrélation.
La maladie cœliaque5 mai 2021Hypothyroïdie et prise de poids25 mai 2021 Quand parle-t-on d’hypertension ? L’hypertension artérielle HTA se définit par une pression artérielle élevée en consultation, soit supérieure à 140 et/ou 90 mm Hg que votre médecin pourra exprimer par “14/9”. Si vous disposez d’un tensiomètre à domicile, les seuils sont un peu plus stricts puisque vous êtes alors considérée comme hypertendue à partir de 135 et/ou 85 mm Hg ou “13,5/8,5”. L’HTA est un état pathologique appelé “tueur silencieux” car la maladie reste longtemps complètement asymptomatique. En cas d’HTA sévère, les symptômes sont loin d’être spécifiques maux de tête, somnolence, palpitations, vision trouble, fatigue, vertiges, confusion, sensation de bourdonnement dans les oreilles, difficultés respiratoires, rythme cardiaque irrégulier… quelques signes qui devraient mettre la puce à l’oreille de votre médecin traitant. Prise en charge de l’HTA en France des chiffres de plus en plus alarmants Sur le plan épidémiologique, l’HTA constitue la pathologie cardiovasculaire dont la prévalence est la plus élevée. Les enquêtes FLAHS French League Against Hypertension Survey, menées depuis 2002 par le Comité Français de Lutte contre l’Hypertension Artérielle CFLHTA et depuis 2015 en association avec la Fondation de Recherche sur l’HTA FRHTA, fournissent des informations sur la prévalence de l’HTA dans la population adulte de plus de 35 ans. Selon les données de l’enquête FLAHS 2019, la prise en charge de l’HTA en France continue de se détériorer [1]. Selon le protocole d’automesure de la pression artérielle recommandé pour cette étude, 8,7 millions des Français de plus de 35 ans sont hypertendus et parmi eux, 5 millions sont non dépistés ou non traités. Seuls 3,7 millions, soit 42,5 %, reçoivent un traitement antihypertenseur. Avec une proportion estimée d’hypertendus traités et un contrôle de l’HTA qui régressent alors que les prescriptions de médicaments antihypertenseurs grimpent, FLASH 2019 confirme les chiffres inquiétants de la dernière enquête du même nom, réalisée en 2017. Aussi, les données de FLAHS 2019 confirment celles de l’enquête Esteban de 2015 [2], menée en France entre 2014 et 2016 auprès d’adultes de 18 à 74 ans, à savoir que la situation s’est dégradée depuis 2006. Aucune diminution de la prévalence de l’HTA n’a été observée en France, avec toujours un adulte sur trois hypertendu. De plus, aucune amélioration du dépistage et de la prise en charge de l’HTA n’a pu être mise en évidence. Plus inquiétant encore, ils montrent que la situation s’est fortement dégradée chez les femmes. Pour résumer, les gens sont moins bien traités, moins pris en charge et moins contrôlés. Le traitement de l’HTA chez la personne en surcharge pondérale Médicaments Normaliser la tension est le seul moyen de protéger nos artères du vieillissement et de ses complications cardiovasculaires. Sur le plan thérapeutique, la perte de poids et l’augmentation de l’activité physique devraient être au centre de la stratégie de prise en charge. Toutefois, un traitement antihypertenseur est très souvent requis en raison des limites des approches non pharmacologiques. Nous disposons de cinq classes d’antihypertenseurs parmi lesquelles le médecin choisira un traitement initial “sur mesure” en tenant compte des résultats de l’interrogatoire, de l’examen clinique, de la sévérité de l’HTA et des résultats du bilan biologique de son patient. Si un seul traitement ne suffit pas à atteindre l’objectif tensionnel ou qu’il y a des complications, notamment sur le cœur insuffisance coronarienne, angor, insuffisance cardiaque, troubles du rythme, infarctus du myocarde, le cerveau AVC et le rein maladie rénale chronique, il faut passer de la monothérapie à la bithérapie, puis à la trithérapie, etc. En raison des problèmes évoquées précédemment, notamment de la sécrétion massive et chronique d’angiotensine-2 par le tissu adipeux intra-abdominal, il est de plus en plus fréquent pour un médecin de devoir “empiler” les médicaments sans pour autant parvenir à contrôler la pression artérielle. C’est ce qu’on appelle l’escalade thérapeutique. Perte de poids Cliniquement, chaque médecin a vécu des cas individuels où une diminution même modérée du poids corporel s’est accompagnée d’une baisse de la pression artérielle et de la possibilité de réduire la médication. Ainsi, de nombreuses études ont démontré qu’une diminution du poids corporel permettait de prévenir l’HTA ainsi que de réduire voire de normaliser la pression artérielle en cas d’HTA, en particulier lorsque celle-ci est modérée. Une méta-analyse de vingt-cinq études concernant 4874 patients a notamment observé que, pour chaque kilo perdu, la tension artérielle systolique et diastolique diminue d’environ 1 mm Hg [4]. Les résultats d’une étude réalisée sur 10 809 patients ayant complété la phase d’amaigrissement du Programme RNPC ont montré que la perte de poids obtenue grâce au programme permettait aux patients hypertendus de diviser par deux leurs traitements médicamenteux prescrits pour l’HTA [5]. Conclusion Globalement, la perte de poids, une moindre consommation d’aliments riches en sel et la pratique d’une activité physique régulière améliorent sans aucun doute la pression artérielle des patients en surcharge pondérale. Mais combien d’entre eux parviendront à réaliser les changements proposés par leur médecin et pendant combien de temps ? C’est pourquoi, bien que ces approches non pharmacologiques doivent être proposées en première intention, dans la majorité des cas, les médecins préfèreront débuter un traitement antihypertenseur chez les patients en surpoids ou obèses et hypertendus, quitte à ce que ce traitement médicamenteux soit réduit ultérieurement si les mesures hygiéno-diététiques s’avèrent efficaces. Références Lecrubier A. Prise en charge de l’HTA en France des chiffres de plus en plus mauvais – Medscape – 7 janv 2020 Perrine AL, et al. Bulletin Epidémiologique Hebdomadaire 2018;10170-9 Hall JE. The kidney, hypertension, and obesity. Hypertension 2003;41625-33 Neter JE, et al. Influence of weight reduction on blood pressure A meta-analysis of randomized controlled trials. Hypertension 2003;42878-84 Christensen L, et al. Metabolic improvements during weight loss The RNPC cohort. Obesity Medicine 2019;14100085
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