⚾ L Ombre D Un Doute Robespierre

Robespierre: bourreau de la Vendée ? Casting Réalisateur : Richard Vargas . Les autres épisodes de la série mercredi 23 mars à 13:35. L’ombre d’un doute. mercredi 23 mars à 14:25 . L’ombre d’un doute Précédent1 234 5 Suivant Journées du patrimoine : La Commanderie. Manifestation culturelle, Musique, Patrimoine - Culture, Patrimoine - Culture, Concert, Visites et circuits Lombre d'un doute - Robespierre, bourreau de la Vendée . Franck Ferrand ose un vrai travail d'historien en convoquant des spécialistes critiques de la question ordinairement cantonnés dans des milieux malheureusement en audience limitée (Stéphane Courtois, Reynald Secher, Dominique Lambert) dans une émission sur la Révolution française. Entre 1793 et 1796, la Undétail en est resté célèbre : cette canne, longue comme celle d’un tambour major, dont la pomme enrichie de pierreries était creuse et contenait des cheveux de femmes [3]. Il a des chevaux, des laquais, une livrée splendide rehaussée de galons et de boutons d’or sur lesquels brillaient les armes des Balzac d’Entragues. « Il faut travailler pour ces gredins de chevaux, que Cest un lieu de débats privilégiant la diversité d'opinion et la liberté d'expression, dans un climat cordial. Il reconstitue également une société virtuelle dirigée par un président du forum élu tous les trois mois. Enregistrez-vous vite pour rejoindre la grande aventure du Forum France ! Rejoignez le forum, c’est rapide et facile . Forum politique France. Le Forum France est SignéRichard Vargas, le documentaire Robespierre : bourreau de la Vendée ? (52 minutes, précédant le débat) débute par ce rappel : en mars 2009, sur la place des Jacobins, au coeur du Mans Cesamedi à la TV sur HISTOIRE, regardez L'ombre d'un doute - Robespierre : bourreau de la Vendée ?. Découvrez la bande annonce et plus d'informations. Magazine Historique : Entre 1793 et 1796, la Vendée fut le théâtre d'affrontements d'une rare violence entre des paysans insurgés et le pouvoir révolutionnaire dirigé par Robespierre Cesamedi à la TV sur HISTOIRE, regardez L'ombre d'un doute - Robespierre : bourreau de la Vendée ?. Découvrez la bande annonce et plus d'informations. Magazine Accueil» L'ombre d'un doute - Robespierre, bourreau de la Vendée. L'ombre d'un doute - Robespierre, bourreau de la Vendée. 10.11.2017. Robespierre. bourreau de la Vendée. Articles RNOj. Entre 1793 et 1796, la Vendée fut le théâtre d’affrontements d’une rare violence entre des paysans insurgés et le pouvoir révolutionnaire, en particulier lors de l’envoi des colonnes infernales en 1794. Massacre de patriotes, massacres de royalistes 170 000 Vendéens périrent. En 1794, Robespierre est exécuté, et la situation commence lentement à s’apaiser, mais il faudra attendre 1796 pour que la guerre cesse. Que s’est-il réellement passé durant ces trois années de combat ? Franck Ferrand, entouré de Clémentine Portier-Kaltenbach, Christophe Bourseiller et Stéphanie Coudurier, revient sur la tragédie vendéenne à la fin du XVIIIe siècle ce soir, à 23h25 sur France 3. Source L’émission est également visible ici [youtube] Actes d'Accusation pour les Attentats du 11 septembre 2001 ! Sont poursuivis Dick Cheney, John Brennan, John Ascroft, Robert Mueller, George W Bush, George H Bush, Kevin Spacey, Barak Obama, John Mc ... Résumé Entre 1793 et 1796, la Vendée fut le théâtre d'affrontements d'une rare violence entre paysans et aristocrates insurgés et le pouvoir révolutionnaire, en particulier lors de l'envoi des colonnes infernales en 1794. Massacre de patriotes, massacres de royalistes 170 000 Vendéens périrent. Que s'est-il réellement passé durant ces trois années de combat ? Autres émissions Le dossier secret de l'affaire Dreyfus Le 22 décembre 1894, Alfred Dreyfus est condamné par le premier conseil de guerre de Paris. Jugé coupable de haute trahison, ce polytechnicien d'origine alsacienne, officier stagiaire à l'état-major, est la victime d'une vaste machination. Echafaudé par le ministre de la Guerre, Auguste Mercier, et par le contre-espionnage, un dossier secret » a été transmis aux juges, en toute illégalité, lors du délibéré. Sur la foi de ces pièces, constituées de faux grossiers, le tribunal décide la déportation à vie de l'officier et ordonne sa dégradation publique. Les mécanismes idéologiques et les préjugés antisémites qui ont conduit à la relégation du militaire innocent sont au coeur de cette enquête, qui expose avec habilité toutes les strates de la conspiration. Puisant dans les archives de la Défense 1 , l'émission dévoile comment les témoins — tous à charge et haut gradés — ont multiplié les fausses déclarations et les faux documents, allant jusqu'à mêler l'accusé aux libertinages de diplomates espions. Commentée par de nombreux historiens, par l'ancien garde des Sceaux Robert Badinter et par Charles Dreyfus, petit-fils du capitaine, la manipulation jette une lumière crue sur une opinion antisémite, bercée de nationalisme revanchard et apeurée par le cosmopolitisme et la décadence. — Hélène Rochette 1 Depuis 2013, le Service historique de la Défense a rendu accessible en ligne la totalité des pièces numérisées de l'affaire Dreyfus. Stalingrad les héroïnes cachées de l'Armée Rouge Les Allemands les avaient baptisées les Sorcières de la nuit ». A quelques mètres de l'avion ennemi, elles coupaient leur moteur avant de lâcher leur bombe et de repartir dans les ténèbres. Ces Sorcières » étaient des aviatrices de l'Armée rouge, pendant la Seconde Guerre mondiale. Des femmes guerrières dans l'armée russe ? Ce phénomène militaire méconnu, objet de légende et de propagande, est décortiqué ici avec précision. Entre septembre 1942 et février 1943, lors de la bataille de Stalingrad, premier grand combat urbain, on compte des femmes parmi les snipers soviétiques. Pour la plupart issues des jeunesses communistes, prêtes à défendre leur parti et leur patrie, ces redoutables combattantes étaient formées pour appuyer sur la gâchette. Elles se révélèrent même plus patientes, plus tenaces, plus appliquées que les hommes », rapporte un historien. Le documentaire donne la parole à deux de ces anciennes femmes snipers, qui, à près de 90 ans, arborent fièrement un plastron couvert de décorations. Pourtant, pour elles, l'après-guerre fut difficile largement exploitées par la propagande soviétique, ces soldates aux cheveux courts, femmes contre-nature », furent, à leur retour du front, mal acceptées par la population. Le film mélange quantité de sources d'images archives non datées, photos, illustrations animées, rendant le propos quelque peu confus. On reste cependant captivé par les incroyables anecdotes entourant ces héroïnes de l'ombre, racontées ici par des historiens passionnés. — Perrine Dutreil Le Louvre, palais du pouvoir Ses pierres content la mue d'un fortin médiéval en palais royal. De la forteresse à donjon érigée par Philippe Auguste au manoir Renaissance de François Ier, les métamorphoses du Louvre expriment la puissance monarchique. Conçu comme un bastion militaire, l'arsenal devient résidence royale avec Charles V, au xive siècle. Intégrée à l'enceinte de la rive droite, l'ancienne caserne perd peu à peu sa fonction défensive. Deux siècles plus tard, épaulés par l'architecte Pierre Lescot, François Ier et Henri II poursuivront les embellissements corniches, vastes baies, cariatides. Après l'Elysée, en mai dernier, L'ombre d'un doute réitère l'expérience d'une première partie de soirée consacrée à un haut lieu 1 . Huit siècles égrenés en deux heures ce panorama des étapes qui façonnèrent le Louvre ne prétend pas à l'exhaustivité. De 1527, date du retour de François Ier dans Paris, à la Seconde Guerre mondiale, où les trésors du musée sont évacués vers la zone libre, le documentaire détaille douze millésimes charnières. Etayé d'extraits de films et d'interventions de spécialistes, le programme bénéficie de somptueuses numérisations en 3D. Soucieuse de valoriser le document d'époque, l'émission se distingue par son ambition graphique et pédagogique. — Hélène Rochette 1 Deux autres numéros à venir, sur Venise et sur les châteaux du Bordelais. Toutes les émissions Lili Marleen, hymne nazi ou chant de la liberté ? Elle illustre toutes les images de la Seconde Guerre mondiale et ponctue inévitablement toutes celles qui évoquent Marlene Dietrich. La chanson Lili Marleen remonte pourtant à la Première Guerre. En 1915, un jeune soldat allemand, sur le point de rejoindre le front russe, compose un poème d'amour, mélancolique et non destiné à publication. Revenu blessé quelques mois plus tard, Hans Leip fréquente les cabarets de Berlin et les paroles de ce poème deviennent la chanson de la jeune sentinelle ». C'est une jeune artiste, Lale Andersen, qui l'interprète alors en 1937, sans beaucoup de succès. En 1941, pourtant, cette petite chanson populaire qui passe à la radio, au début pour combler les trous de programmation, connaît un immense succès auprès des troupes allemandes, puis, à Tobrouk, auprès des troupes anglaises, qui l'entendent également s'échapper le soir venu des radios allemandes. Air de propagande mis en avant par Goebbels, il assure l'incroyable notoriété de Lale Andersen, qui refuse pourtant de se soumettre à toutes les injonctions nazies. Goebbels pouvait sanctionner la chanteuse, mais pas la chanson, qu'il tente de martialiser. Erreur Lili Marleen sans Lale Andersen n'est plus celle qu'aiment les Allemands. Erreur encore d'avoir envisagé une version anglaise pour démoraliser les Alliés, qui s'emparent alors à leur tour de Lili Marleen, bientôt interprétée par Marlene Dietrich. Historiens et documents retracent l'étonnant itinéraire mu­sical et idéologique de cette chanson, qui fut le premier tube planétaire de l'histoire de la chanson. Petiot le docteur Satan de l'Occupation S'il existe encore un doute sur la culpabilité du Dr Petiot, guillotiné en mai 1946, cela ne concerne guère que le nombre exact de ses victimes. En mars 1944, vingt-sept corps en morceaux, partiellement brûlés, furent retrouvés dans son hôtel particulier de la rue Le Sueur. Lors de son procès, il revendiqua soixant-trois assassinats comme autant de faits de résistance, expliquant qu'il s'agissait d'Allemands et de collaborateurs. La réalité était plus sordide. Petiot prétendait faire passer en Argentine des Juifs persécutés et des truands en délicatesse avec la Gestapo. En pratique, il les tuait, volait leurs objets de valeur, et détruisait les corps. Tout en retraçant la trajectoire horrible et rocambolesque de Marcel Petiot, la réalisatrice s'attarde sur l'époque qui lui a permis de sévir pendant plusieurs années, et d'échapper un temps à la justice après la découverte de ses crimes. Pas d'endroit plus propice, pour un tueur en série, que ce Paris occupé puis libéré dans un chaos indescriptible, où se diluaient les identités, les responsabilités et les repères moraux. Parce que l'histoire qui nous est racontée est effectivement fascinante, parce que les derniers témoins apportent des respirations bienvenues, on tient bon malgré un montage sensationnaliste, qui rabâche les mêmes archives photographiques, répète à l'écran ce que dit déjà le commentaire, et remplit les vides avec des images-prétextes d'enseignes ou de plaques de rue. — Sophie Bourdais Les derniers jours de Jésus Jésus était-il marié ? Comment s'est déroulé son procès ? Le Saint-Sépulcre peut-il être son tombeau ? En ce lundi de Pâques, Franck Ferrand examine les derniers jours de Jésus à l'aune des découvertes archéologiques les plus récentes. Méthodiquement, chaque détail de cette Passion du Christ est passé au crible des connaissances historiques — un jeu du vrai ou faux riche en anecdotes et enseignements. Les Evangiles décrivent Jésus chassant les marchands du Temple ; cette colère soudaine est-elle historiquement plausible ? Les châtiments subis par le Christ flagellation, couronne d'épines, crucifixion correspondent-ils aux pratiques romaines de l'époque ? Pourquoi les écrits chrétiens dénoncent-ils le peuple juif comme déicide, alors que c'est le Romain Ponce Pilate qui a prononcé la sentence ? Peu de certitudes, ici — encore moins de preuves définitives. L'émission égrène quantité de théories, sur lesquelles s'écharpent depuis des décennies ecclésiastiques, experts et historiens. Au fil du xxe siècle, chaque découverte d'un papyrus, d'une gravure ou d'un manuscrit apocryphe est venue ébranler un peu plus les croyances. Tout cela est passionnant. Dommage que l'effet catalogue » des mystères entourant la figure de Jésus rende l'ensemble quelque peu indigeste. — Perrine Dutreil Fontainebleau, la demeure des rois Après l'Elysée et le Louvre, L'ombre d'un doute s'immisce sous le stuc et les fresques de Fontainebleau. Depuis le donjon carré, où a trépassé Philippe le Bel en 1314, jusqu'au palais de François Ier, qui abrita deux siècles après son règne l'union de Marie Leszczynska et de Louis XV, les salles du château regorgent de présences. Evoqués chronologiquement, ces mânes poussiéreux ravivent des événements aussi rocambolesques que diplomatiques. En mettant l'accent sur les péripéties et les drames qui se nouèrent dans la royale demeure, l'émission prise le symbole, aux dépens d'un solide panorama historique. Intéressante, l'anecdote sur le sculpteur Cellini, évincé de la cour de François Ier par la diabolique duchesse d'Etampes pour ne pas lui avoir présenté en priorité un bronze monumental, rappelle la précarité des artistes de la Renaissance. Et permet de souligner l'apport des Florentins dans le maniérisme français. Mais, en choisissant notamment de s'attarder sur l'assassinat de l'écuyer de la reine Christine de Suède, l'émission s'égare un peu dans l'antichambre du pouvoir. — Hélène Rochette 04/09/2022 L'affaire des poisons les secrets de Louis XIV Nouveau rendez-vous bimensuel, enregistré aux ­Archives nationales, cette émission se donne pour ­mission de décrypter les énigmes historiques les plus controversées. Aux commandes du magazine, que nous n'avons pu voir, Franck Ferrand entend offrir une tribune aux thèses les plus divergentes ». Le journaliste, auteur d'ouvra­ges de vulgarisation et diplômé de l'Ecole des hautes études en sciences sociales, qui admet se dégager de la vérité officielle », proposera des investigations fondées sur l'étude des documents. Parmi les seize numéros programmés, l'émission - au titre hitchcockien », souligne l'intéressé ! - se penchera sur le visage probable de Jack l'Eventreur et sur la destinée de la chanson Lili Marleen. Classique dans son articulation présentation du sujet, documentaire, entretien en épilogue avec un spécialiste, L'ombre d'un doute s'attache ici à un épisode très rebattu du Grand Siè­cle l'affaire des Poisons. Le magazine examine l'affaire d'Etat derrière la série d'empoisonnements qui troubla le règne de Louis XIV. A ­défaut de nous garantir des sueurs froides, le pro­gramme devra surtout lever des soupçons de déjà-vu.

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