🌥️ Comme Une Bouteille À La Mer Parole

SopranoParoles de « Comme une bouteille à la mer »: Encore une prise de bec avec ma mère, / J'fais le sourd, claque la port Deutsch English Español Français Hungarian Italiano Nederlands Polski Português (Brasil) Română Svenska Türkçe Ελληνικά Български Русский Српски العربية فارسی 日本語 한국어 Parolesde chanson Soprano - Comme Une Bouteille a La Mer. Encore une prise de bec avec ma mère, J'fais le sourd, claque la porte, pour oublier j'ricane avec mes potes en tapissant un block. La visage plongé dans les étoiles, noyé dans ma gamberge, J'cherche une île, une berge, ou au moins un bout d'bois, J'me sens, comme une bouteille à Traductionde « Comme une bouteille à la mer » par Soprano, français → anglais Deutsch English Español Français Hungarian Italiano Nederlands Polski Português (Brasil) Română Svenska Türkçe Ελληνικά Български Русский Српски العربية فارسی 日本語 한국어 CommeUne Bouteille A La Mer - Psy 4 de la Rime MP3 et clip en Streaming / Téléchargement légal Comme Une Bouteille A La Mer - Psy 4 de la Rime MP3 à écouter et télécharger légalement Top Albums TrackMusik Commeune bouteille à la mer Mon cœur s'endort en solitaire Comme une bouteille à la mer Savoir le dire osez le faire Comme une bouteille à la mer Remplie de tous ces mots noyés dans la tristesse de mes prières, mes prières. Comme une bouteille à la mer Quand je voyage dans l'océan de ce mystère, je m'y perds. Mon cœur a sombré tant Jelance ici comme une bouteille à la mer. Un signal qui depuis des années n'est entendu par personne et que même moi Aprèsle beau temps j’ai vu l’averse. J’ai gardé les pieds sur terre. La vie m’a pris tout ce que j’avais. Elle m’a laissé solitaire (han han han) Elle m’a laissé solitaire (han han han) Elle m’a laissé solitaire. On m’avait dit à la vie à la mort. J’suis parti comme une bouteille à la mer. Eux qui pensaient avoir Voilàprécisément le parti pris de notre dossier : à la question de savoir ce qu’il advient de la littérature quand l’histoire nous fait connaître le mot de « communauté » sur un fond de désastre, nous proposons de répondre que la littérature concernée par l’histoire devient une bouteille à la mer — et ce, dès la Parolesde Bouteille A La Mer [Refrain - Evaanz (Nessbeal)] Comme une bouteille à la mer Faites que j'arrive à bon port (Street Fabulous) Comme une bouteille à la mer (N.E.2.S.) Pourvu qu'on me lise encore (Pour tous les naufragés de la vie) Comme une bouteille à la mer Faites que j'arrive à bon port (N.E.2.S.) Comme une bouteille à la mer PitUCC. Conseil à un jeune homme inconnu I Courage, ô faible enfant, de qui ma solitude Reçoit ces chants plaintifs, sans nom, que vous jetez Sous mes yeux ombragés du camail de l’étude. Oubliez les enfants par la mort arrêtés ; Oubliez Chatterton, Gilbert et Malfilâtre ; De l’œuvre d’avenir saintement idolâtre, Enfin, oubliez l’homme en vous-même. — Écoutez II Quand un grave Marin voit que le vent l’emporte Et que les mâts brisés pendent tous sur le pont, Que dans son grand duel la mer est la plus forte Et que par des calculs l’esprit en vain répond ; Que le courant l’écrase et le roule en sa course, Qu’il est sans gouvernail et partant, sans ressource, Il se croise les bras dans un calme profond. III Il voit les masses d’eau, les toise et les mesure, Les méprise en sachant qu’il en est écrasé, Soumet son âme au poids de la matière impure Et se sent mort ainsi que son vaisseau rasé. — À de certains moments, l’âme est sans résistance ; Mais le penseur s’isole et n’attend d’assistance Que de la forte foi dont il est embrasé. IV Dans les heures du soir, le jeune Capitaine A fait ce qu’il a pu pour le salut des siens. Nul vaisseau n’apparaît sur la vague lointaine, La nuit tombe, et le brick court aux rocs indiens. — Il se résigne, il prie, il se recueille, il pense À Celui qui soutient les pôles et balance L’équateur hérissé des longs méridiens. V Son sacrifice est fait ; mais il faut que la terre Recueille du travail le pieux monument. C’est le journal savant, le calcul solitaire, Plus rare que la perle et que le diamant ; C’est la carte des flots faite dans la tempête, La carte de l’écueil qui va briser sa tête Aux voyageurs futurs sublime testament. VI Il écrit Aujourd’hui, le courant nous entraîne, Désemparés, perdus, sur la Terre-de-Feu. Le courant porte à l’est. Notre mort est certaine Il faut cingler au nord pour bien passer ce lieu. — Ci-joint est mon journal, portant quelques études Des constellations des hautes latitudes. Qu’il aborde, si c’est la volonté de Dieu ! » VII Puis immobile et froid, comme le cap des Brumes Qui sert de sentinelle au détroit Magellan, Sombre comme ces rocs au front chargé d’écumes, Ces pics noirs dont chacun porte un deuil castillan, Il ouvre une bouteille et la choisit très forte, Tandis que son vaisseau que le courant emporte Tourne en un cercle étroit comme un vol de milan. VIII Il tient dans une main cette vieille compagne, Ferme, de l’autre main, son flanc noir et terni. Le cachet porte encor le blason de Champagne, De la mousse de Reims son col vert est jauni. D’un regard, le marin en soi-même rappelle Quel jour il assembla l’équipage autour d’elle, Pour porter un grand toste au pavillon béni. IX On avait mis en panne, et c’était grande fête Chaque homme sur son mât tenait le verre en main ; Chacun à son signal se découvrit la tête, Et répondit d’en haut par un hourra soudain. Le soleil souriant dorait les voiles blanches ; L’air ému répétait ces voix mâles et franches, Ce noble appel de l’homme à son pays lointain. X Après le cri de tous, chacun rêve en silence. Dans la mousse d’Aï luit l’éclair d’un bonheur ; Tout au fond de son verre il aperçoit la France. La France est pour chacun ce qu’y laissa son cœur L’un y voit son vieux père assis au coin de l’âtre, Comptant ses jours d’absence ; à la table du pâtre, Il voit sa chaise vide à côté de sa sœur. XI Un autre y voit Paris, où sa fille penchée Marque avec les compas tous les souffles de l’air, Ternit de pleurs la glace où l’aiguille est cachée, Et cherche à ramener l’aimant avec le fer. Un autre y voit Marseille. Une femme se lève, Court au port et lui tend un mouchoir de la grève, Et ne sent pas ses pieds enfoncés dans la mer. XII Ô superstition des amours ineffables, Murmures de nos cœurs qui nous semblez des voix, Calculs de la science, ô décevantes fables ! Pourquoi nous apparaître en un jour tant de fois ? Pourquoi vers l’horizon nous tendre ainsi des pièges ? Espérances roulant comme roulent les neiges ; Globes toujours pétris et fondus sous nos doigts ! XIII Où sont-ils à présent ? où sont ces trois cents braves ? Renversés par le vent dans les courants maudits, Aux harpons indiens ils portent pour épaves Leurs habits déchirés sur leurs corps refroidis. Les savants officiers, la hache à la ceinture, Ont péri les premiers en coupant la mâture Ainsi, de ces trois cents il n’en reste que dix ! XIV Le Capitaine encor jette un regard au pôle Dont il vient d’explorer les détroits inconnus. L’eau monte à ses genoux et frappe son épaule ; Il peut lever au ciel l’un de ses deux bras nus. Son navire est coulé, sa vie est révolue Il lance la Bouteille à la mer, et salue Les jours de l’avenir qui pour lui sont venus. XV Il sourit en songeant que ce fragile verre Portera sa pensée et son nom jusqu’au port ; Que d’une île inconnue il agrandit la terre ; Qu’il marque un nouvel astre et le confie au sort ; Que Dieu peut bien permettre à des eaux insensées De perdre des vaisseaux, mais non pas des pensées, Et qu’avec un flacon il a vaincu la mort. XVI Tout est dit. À présent, que Dieu lui soit en aide ! Sur le brick englouti l’onde a pris son niveau. Au large flot de l’est le flot de l’ouest succède, Et la Bouteille y roule en son vaste berceau. Seule dans l’Océan, la frêle passagère N’a pas pour se guider une brise légère ; — Mais elle vient de l’arche et porte le rameau. XVII Les courants l’emportaient, les glaçons la retiennent Et la couvrent des plis d’un épais manteau blanc. Les noirs chevaux de mer la heurtent, puis reviennent La flairer avec crainte, et passent en soufflant. Elle attend que l’été, changeant ses destinées, Vienne ouvrir le rempart des glaces obstinées, Et vers la ligne ardente elle monte en roulant. XVIII Un jour, tout était calme, et la mer Pacifique, Par ses vagues d’azur, d’or et de diamant, Renvoyait ses splendeurs au soleil du tropique. Un navire y passait majestueusement, Il a vu la Bouteille aux gens de mer sacrée Il couvre de signaux sa flamme diaprée, Lance un canot en mer et s’arrête un moment. XIX Mais on entend au loin le canon des corsaires ; Le Négrier va fuir s’il peut prendre le vent. Alerte ! et coulez bas ces sombres adversaires ! Noyez or et bourreaux du couchant au levant ! La Frégate reprend ses canots et les jette En son sein, comme fait la sarigue inquiète, Et par voile et vapeur vole et roule en avant. XX Seule dans l’Océan, seule toujours ! — Perdue Comme un point invisible en un mouvant désert, L’aventurière passe errant dans l’étendue, Et voit tel cap secret qui n’est pas découvert. Tremblante voyageuse à flotter condamnée, Elle sent sur son col que depuis une année L’algue et les goémons lui font un manteau vert. XXI Un soir enfin, les vents qui soufflent des Florides L’entraînent vers la France et ses bords pluvieux. Un pêcheur accroupi sous des rochers arides Tire dans ses filets le flacon précieux. Il court, cherche un Savant et lui montre sa prise, Et, sans l’oser ouvrir, demande qu’on lui dise Quel est cet élixir noir et mystérieux. XXII Quel est cet élixir ? Pêcheur, c’est la science, C’est l’élixir divin que boivent les esprits, Trésor de la pensée et de l’expérience ; Et si tes lourds filets, ô pêcheur, avaient pris L’or qui toujours serpente aux veines du Mexique, Les diamants de l’Inde et les perles d’Afrique, Ton labeur de ce jour aurait eu moins de prix. XXIII Regarde. — Quelle joie ardente et sérieuse ! Une gloire de plus luit sur la nation. Le canon tout-puissant et la cloche pieuse Font sur les toits tremblants bondir l’émotion. Aux héros du savoir plus qu’à ceux des batailles On va faire aujourd’hui de grandes funérailles. Lis ce mot sur les murs Commémoration ! » XXIV Souvenir éternel ! gloire à la découverte Dans l’homme ou la nature, égaux en profondeur, Dans le Juste et le Bien, source à peine entr’ouverte, Dans l’Art inépuisable, abîme de splendeur ! Qu’importe oubli, morsure, injustice insensée, Glaces et tourbillons de notre traversée ? Sur la pierre des morts croît l’arbre de grandeur. XXV Cet arbre est le plus beau de la terre promise, C’est votre phare à tous, Penseurs laborieux ! Voguez sans jamais craindre ou les flots ou la brise Pour tout trésor scellé du cachet précieux. L’or pur doit surnager, et sa gloire est certaine. Dites en souriant comme ce Capitaine Qu’il aborde, si c’est la volonté des Dieux ! » XXVI Le vrai Dieu, le Dieu fort est le Dieu des idées. Sur nos fronts où le germe est jeté par le sort, Répandons le Savoir en fécondes ondées ; Puis, recueillant le fruit tel que de l’âme il sort, Tout empreint du parfum des saintes solitudes, Jetons l’œuvre à la mer, la mer des multitudes — Dieu la prendra du doigt pour la conduire au port. Au Maine-Giraud, octobre 1853 Download Skip this Video Loading SlideShow in 5 Seconds.. COMME UNE BOUTEILLE LA MER PowerPoint Presentation Uploaded on Oct 19, 2012 Download PresentationCOMME UNE BOUTEILLE LA MER - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - E N D - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - Presentation Transcript Traduction Louis Segond 21, édition de 2007 © Copyright.[+]n°23 / Esaïe 50 Reproches de l’Eternel à son peuple1Voici ce que dit l’Eternel Où est la lettre de divorce par laquelle j’ai renvoyé votre mère ? Ou bien auquel de mes créanciers vous ai-je vendus ? C’est à cause de vos fautes que vous avez été vendus et c’est à cause de vos transgressions que votre mère a été suis venu pourquoi n’y avait-il personne ? J’ai appelé pourquoi personne n’a-t-il répondu ? Mon bras serait-il trop court pour vous libérer ? N’ai-je pas assez de force pour vous délivrer ? Par une simple menace je mets la mer à sec, je change les fleuves en désert. Faute d’eau, leurs poissons crèvent de soif et le ciel d’obscurité et je lui donne un sac en guise de serviteur de l’Eternel insulté4Le Seigneur, l’Eternel, m’a donné le langage des disciples pour que je sache soutenir par la parole celui qui est abattu. Il réveille, oui, matin après matin il réveille mon oreille pour que j’écoute comme le font des Seigneur, l’Eternel, m’a ouvert l’oreille, et moi, je ne me suis pas rebellé, je n’ai pas présenté mon dos à ceux qui me frappaient et mes joues à ceux qui m’arrachaient la barbe, je n’ai pas caché mon visage aux insultes et aux le Seigneur, l’Eternel, est venu à mon aide. Voilà pourquoi je ne me suis pas laissé atteindre par les insultes, voilà pourquoi j’ai rendu mon visage dur comme une pierre, et je sais que je ne serai pas couvert de qui me déclare juste est proche qui veut m’accuser ? Comparaissons ensemble ! Qui s’oppose à mon droit ? Qu’il s’avance vers moi !9C’est le Seigneur, l’Eternel, qui viendra à mon aide qui me condamnera ? Ils tomberont tous en lambeaux comme un habit, dévorés par la parmi vous craint l’Eternel et écoute son serviteur ? Si quelqu’un marche dans l’obscurité et manque de lumière, qu’il place sa confiance dans le nom de l’Eternel et s’appuie sur son Dieu !11Quant à vous tous qui allumez un feu et qui êtes armés de flèches incendiaires, allez dans la flamme de votre feu et au milieu des flèches que vous avez enflammées ! C’est ma main qui vous réserve ce sort vous vous coucherez dans la souffrance.

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