🐹 Développement Construit Sur Les Dynamiques Des Aires Urbaines En France
Uneaire urbaine est un ensemble urbain qui se compose d'une ville centre, d'une banlieue ainsi que d'une couronne périurbaine. Pour présenter les espaces et les dynamiques des aires urbaines, on va s'appuyer sur l'exemple de l'aire urbaine de Toulouse. Sommaire Les aires urbaines en France Sujet Introduction Développement Conclusion
Pouraccéder à la carte des 13 régions de France, issues du regroupement de certaines des 22 anciennes régions, C’est utile pour revoir les thèmes vus en cours et pour réviser en cas de besoin : Sur les aires urbaines et les dynamiques territoriales : - cliquez ici. Sur l’étalement urbain, version dessin animé canadien ! cliquez ici. Sur les espaces de faible densité vous
Développementconstruit : dynamiques territoriales de la France contemporaine En vous appuyant sur un exemple étudié en classe, rédigez un développement construit d'environ vingt lignes montrant l'organisation et les dynamiques d'une aire urbaine en France. Pour traiter ce sujet, relisez bien la consigne. On attend de vous que vous évoquiez, dans une première partie,
erChap I . Les aires urbaines dans une France mondialisée Comment l'étalement des aires urbaines modifie-t-il le territoire et la vie des Français ? 31/12/2020 1 . DES MOTS POUR « LA VILLE » Agglomération : (ou pôle urbain.). Espace urbain formé d'une ville et de ses banlieues. Aire urbaine : espace d'un seul tenant comprenant une ville centre (pôle urbain), sa banlieue et
Parcourant3 kilomètres, Toulouse (Occitanie) met en service le plus long téléphérique urbain jamais construit en France . Le premier édile a coupé le traditionnel ruban pour saluer cette ouverture officielle en compagnie d'un adjoint, du directeur et créateur de l'entreprise ainsi que du responsable développement Grand O .
GéoTH1-S1-Les aires urbaines en France Séance 1 : La diversité des espaces urbains . 1/ L’exemple de l’aire urbaine lyonnaise. Correction de l’étude de cas. 2/ Schéma d’une aire urbaine française. Schéma et sa légende réalisés en groupes. Consulter la correction. POINT MÉTHODE : Rédiger un Développement Construit . Sujet (traité individuellement et rendu au
Paysde tradition rurale, la France s'est tardivement urbanisée. Mais depuis 1931, la population urbaine a dépassé la population rurale et l'urbanisation n'a depuis cessé de se développer en prenant des formes nouvelles. Quelles sont les caractéristiques de l'urbanisation en France ?
Lesdynamiques de développement des aires urbaines sont également très variables. L’INSEE dans son analyse du zonage en aire urbaine de 2010, a classé les aires urbaines en fonction de leur rythme de croissance démographique (Floch et Lévy, 2011). Ceux-ci sont loin d’être partout les mêmes. Dans le Nord-est de la France, la croissance démographique tend à être plus faible
Lhypothèse 1 est validée par le doc. 1, l’hypothèse 2 est validée par le doc. 3, l’hypothèse 3 est validée par les docs 2 et 3. 85% des Français vivent dans l’une des 792 aires urbaines du territoire. La saturation des espaces des villes centres liée à la croissance urbaine a engendré un étalement urbain qui s’est traduit
L4N1q. Je viens de me pencher sur le cas de l'aire urbaine de Lille. Côté français, l'aire urbaine de Lille est bordée, d'est en ouest, par les unités urbaines de Saint-Amand-les-Eaux, Valenciennes, Flines-lez-Raches, Douai-Lens, Béthune et Armentières, ainsi que par les communes isolées de Wandignies-Hamage et Vred. Du fait de la forte densité du Nord-Pas-de-Calais, il n'existe aucune autre commune isolée entre les unités urbaines que je viens de citer et l'aire urbaine de Lille. C'est assez unique en France. Voici les pourcentages de navetteurs vers l'AU de Lille pour ces unités urbaines et communes isolées, auxquelles je rajoute l'unité urbaine de Mortagne-du-Nord. Pourcentage de résidents en emploi qui travaillent dans l'AU de Lille partie française + communes belges de Mouscron et Comines-Warneton - commune de Wandignies-Hamage 40,8% - UU d'Armentières 39,3% - UU de Flines-lez-Raches 36,5% - commune de Vred 34,2% - UU de Saint-Amand-les-Eaux 24,6% - UU de Mortagne-du-Nord 20,9% - UU de Douai-Lens 16,7% - UU de Béthune 16,3% - UU de Valenciennes 8,8% Il y a trois choses à noter. D'abord, le bassin minier est plus polarisé par Lille que Gaillac et Montauban par Toulouse. Ensuite, la commune de Wandignies-Hamage a intégré l'aire urbaine de Lille depuis 2008. Dans cette commune, au recensement de 2012, les pourcentages de résidents en emploi étaient les suivants - 40,8% travaillent dans l'AU de Lille incluant Mouscron et Comines-Warneton - 27,2% travaillent dans l'AU de Valenciennes - 10,9% travaillent dans l'AU de Douai-Lens - 10,2% travaillent à Wandignies-Hamage - 6,8% travaillent dans l'AU de Saint-Amand-les-Eaux Enfin, dans l'UU d'Armentières on est désormais très proche des 40%. C'est Bailleul qui empêche l'UU de dépasser les 40%, mais quand on regarde une vue par satellite on voit que l'inclusion de Bailleul dans l'UU d'Armentières est très artificielle. En fait, si on ne retient que les communes d'Armentières, La Chapelle-d'Armentières, Erquinghem-Lys, Frelinghien, Houplines et Nieppe, qui forment la vraie agglomération d'Armentières telle qu'on peut la distinguer dans une vue par satellite, on est à 44,7% des résidents en emploi de ces 6 communes qui travaillent dans l'AU de Lille incluant Mouscron et Comines-Warneton, et même 43,3% pour la seule partie française de l'AU de Lille. Donc honnêtement, Armentières me paraît remplir les critères pour rentrer dans l'AU de Lille, en laissant tomber Bailleul, Steenwerck, Méteren et Saint-Jans-Cappel, dont l'inclusion dans l'UU d'Armentières me paraît très artificielle. Une fois ces 6 communes de l'agglo d'Armentières intégrée à l'AU de Lille, pour Bailleul on passe de 26,3% des résidents en emploi qui travaillent dans l'AU de Lille à 35,8%, donc Bailleul n'entre pas dans l'AU avec le processus itératif. Par contre pour Steenwerck on passe de 28,8% à 48,1%, donc ça fait entrer Steenwerck dans l'AU. Avec l'entrée de Steenwerck dans l'AU de Lille, ça fait passer Bailleul de 35,8% à 36,8%, toujours insuffisant pour entrer dans l'AU de Lille. La frontière de l'AU de Lille aujourd'hui me paraît donc passer entre Steenwerck et Bailleul. Au total la vraie population de l'AU de Lille en incluant les communes belges de Mouscron et Comines-Warneton, ainsi que les 6 communes de l'agglo d'Armentières, ainsi que Steenwerck et Wandignies-Hamage, soit un territoire de km², était de au croissance de +0,47% par an entre 2008 et 2013. En comparaison, l'AU de Toulouse, en y incluant la commune de Montbartier et l'UU de Boussens, qui ont dépassé les 40% comme je l'ai dit dans un précédent post, soit un territoire de km², n'avait que habitants au croissance de +1,43% par an entre 2008 et 2013. Il semble donc que l'AU de Lille soit encore devant l'AU de Toulouse dans la réalité, même si plus pour très longtemps sans doute. Après, il y a sûrement plusieurs communes rurales autour de l'AU de Toulouse qui ont dépassé les 40% depuis 2008 et qu'il faudrait ajouter. Je ne me suis pas amusé à faire les calculs pour ces centaines de communes. Mais je doute que ça arrive à combler le trou de qui sépare l'AU de Toulouse de celle de Lille. En terme d'emplois, voici le nombre d'emplois au dans l'AU de Lille incluant Mouscron et Comines-Warneton, les 6 communes de l'agglo d'Armentières, Steenwerck et Wandignies-Hamage croissance de +0,50% par an entre 2008 et 2013. Et voici le nombre d'emplois au dans l'AU de Toulouse incluant Montbartier et l'UU de Boussens croissance de +1,43% par an entre 2008 et 2013. Toulouse a donc dépassé Lille comme pôle d'emploi. Le dépassement s'est d'ailleurs produit entre 2008 et 2013. Fait curieux, la croissance de l'emploi et de la population dans l'AU de Toulouse sont strictement identiques. A Lille l'emploi croît légèrement plus vite que la population. Enfin last but not least, si aucune des communes au sud de l'AU de Lille ne peut espérer rejoindre l'AU de Lille dans l'avenir vu qu'elles forment une unité urbaine entre elles UU de Douai-Lens et UU de Béthune, certaines de ces communes du bassin minier ont déjà des taux de navetteurs vers l'AU de Lille supérieurs à 40%. Si on ne considérait pas qu'elles ont une continuité urbaine entre elles continuité qui peut être plus ou moins artificielle comme dans le cas de Bailleul-Armentières, elles entreraient dans l'AU de Lille. Communes dans l'UU de Douai-Lens dont le pourcentage de résidents en emploi travaillant dans l'AU de Lille partie FR + Mouscron et Comines-Warneton, sans même inclure Armentières et le reste est supérieur à 40% - Thumeries 60,6% - Wahagnies 60,1% - Moncheaux 47,5% - Ostricourt 45,3% - Libercourt 43,1% Carvin est à 37,8%, Hénin-Beaumont est à 18,7%, Douai est à 13,1%, Lens est à 10,2%, Liévin est à 8,9%. Dans l'UU de Béthune, voici les communes dont les pourcentages de résidents en emploi travaillant dans l'AU de Lille incluant Mouscron et Comines-Warneton dépassent 40% ici Armentières polarise pas mal de communes, donc j'ajoute les pourcentages en intégrant Armentières à l'AU de Lille - Provin 63,0% 63,9% en intégrant les 6 communes de l'agglo d'Armentières à l'AU de Lille - Salomé 59,6% 61,1% - Bauvin 58,5% 59,4% - Lorgies 56,6% 59,7% - Neuve-Chapelle 50,2% 56,1% - Bois-Grenier 49,1% 71,1% - Fleurbaix 46,9% 61,7% - La Bassée 44,7% 46,2% - Violaines 41,3% 43,2% - Meurchin 40,2% 41,1% - Sailly-sur-la-Lys 39,4% 56,2% - Laventie 37,5% 48,4% - La Gorgue 28,2% 40,9% À Merville on est à 18,7% et même 26,2% si on intègre les 6 communes de l'agglo d'Armentières à l'AU de Lille, à Béthune on est à 9,6%, à Nœux-les-Mines on est à 6,0%, à Bruay-la-Buissière on est à 5,0%, à Aire-sur-la-Lys on est à 3,0%. Mais quand on regarde une carte satellite, on peut constater l'artificialité de l'UU de Béthune. Parmi les communes qui dépassent les 40% en intégrant Armentières à l'AU de Lille, on distingue quatre zones. D'une part, Bois-Grenier, Fleurbaix et Sailly-sur-la-Lys qui sont en fait la périphérie d'Armentières et sont très détachés de Béthune. Ensuite une zone d'urbanisation Estaires-La Gorgue-Laventie, aussi très distincte de Béthune, qui dépasse tout juste les 40% 40,2%. Puis une zone d’urbanisation autour de La Bassée avec Violaines et Salomé, auxquels on peut ajouter Lorgies et Neuve-Chapelle qui sont satellites de ce secteur, où on dépasse franchement les 40% 50,7% pour ces 5 communes. D'ailleurs juste après à Hantay, Marquillies et Illies on est dans l'AU de Lille définie par l'INSEE. Ce secteur autour de La Bassé est séparé par un canal de l'urbanisation autour d'Auchy-les-Mines où on est à environ 32% de navetteurs vers Lille qui est plus ou moins reliée à Béthune. Enfin plus au sud-est, un secteur d'urbanisation autour de Meurchin, Bauvin et Provin, qui est lui aussi nettement au-dessus des 40% 55,6%, et qui est séparé par quelques champs d'Annoeullin qui est dans l'AU de Lille définie par l'INSEE et par un canal de Wingles et du secteur d'urbanisation d'Auchy-les-Mines, qui sont reliés plus ou moins à Béthune. Parmi ces quatre zones, le secteur de La Bassé et celui de Meurchin-Bauvin-Provin semblent bien dans la zone d'urbanisation du bassin minier UU de Béthune officiellement, même si les liens avec Béthune sont faibles, donc hors de l'AU de Lille, par contre le secteur d'Estaires-La Gorgue-Laventie et celui en périphérie sud d'Armentières Bois-Grenier, Fleurbaix et Sailly-sur-la-Lys n'est vraiment pas dans le bassin minier, sans continuité visible d'urbanisation avec Béthune, donc ça serait sans doute plus logique de l'intégrer à l'AU de Lille, ce que l'INSEE ne fera pas tant qu'elle ne modifiera pas sa définition des unités urbaines. Si on inclut à l'AU de Lille les communes d'Estaires, La Gorgue, Laventie, Bois-Grenier, Fleurbaix et Sailly-sur-la-Lys en plus de l'agglo à 6 communes d'Armentières, de Steenwerck, de Wandignies-Hamage, de Mouscron et Comines-Warneton, alors on est à habitants au au lieu de donné plus haut, et seulement pour la partie française de l'AU de Lille définie officiellement par l'INSEE. Et ce chiffre de ne prend même pas en compte les populeux secteurs de La Bassée, Meurchin-Bauvin-Provin, et Libercourt-Oignies-Ostricourt qui sont très polarisés par Lille, sans compter que si ces trois secteurs sont intégrés à l'AU de Lille, alors Carvin bascule au-delà des 40% on a des flux importants de travailleurs de Carvin vers Libercourt et Oignies en particulier. Ces 3 secteurs + Carvin avait habitants en 2013, ce qui donnerait habitants à l'AU de Lille. Conclusion, je ne mettrais pas de communes flamandes dans l'AU de Lille, parce que c'est artificiel du fait de la barrière linguistique, par contre je considérerai que Toulouse a vraiment dépassé Lille que le jour pas si lointain où l'AU de Toulouse aura dépassé les 1,4 millions d'habitants et même 1,45 millions pour tenir compte de la croissance lilloise. A 1,5 millions, Toulouse sera sans conteste devant Lille, et même si un jour l'INSEE fusionnait les UU de Lille, Douai-Lens et Béthune, de toutes façons ça resterait artificiel au vu des flux de navetteurs. Par contre une AU de Lille à 1,4 millions d'habitants n'est pas du tout artificielle. Elle correspond même à la réalité vécue tous les jours sur le terrain telle que la montre les chiffres des flux de navetteurs.
Sep 17 2021 Séance 1 La diversité des espaces urbains Correction du DC Dans un Développement Construit d’une vingtaine de lignes, décrivez l’organisation et les dynamiques de l’aire urbaine lyonnaise Séance 2 Dynamiques et hiérarchie urbaine en France 2/ La métropolisation du territoire français Article distribué Le développement des métropoles D’après le portail de l’Aménagement du territoire, 2016 Correction des questions a et b
La Fédération Nationale des Agences d'Urbanisme a réalisé une analyse transversale des nouvelles aires urbaines nouveau zonage d'octobre 2011 du territoire national et en a examiné les évolutions. L’étude met en avant les principales caractéristiques en termes de dynamismes socio-économiques et de tendances démographiques. À partir de ces spécificités, une typologie des aires urbaines est élaborée ; six groupes se dégagent. • Groupe 1 Très grande aire urbaine aux fonctions métropolitaines. Elles se caractérisent par une forte présence de cadres, qui se renforce. La population y est jeune, active et très diplômée. L'habitat est dense. > En région Poitou-Charentes Niort • Groupe 2 Aires urbaines à fort potentiel. Les cadres sont très présents et les dynamiques économiques et démographiques donnent fort potentiel d'attractivité à ces aires urbaines. > En région Centre Chartres, Orléans, Blois, Tours, Bourges > En région Poitou-Charentes Poitiers • Groupe 3 Aires urbaines dynamiques et attractives. Elles bénéficient d'un fort dynamisme économique et d'une forte croissance démographique. Le cadre de vie contribue à leur attractivité, notamment pour les plus âgés. > En région Poitou-Charentes La Rochelle, Rochefort, Saintes, Royan • Groupe 4 Aires urbaines à dynamisme moyen. Sont plutôt concernées les aires urbaines petites et moyennes où le vieillissement de la population est plus marqué qu'ailleurs. Le dynamisme économique de ces aires est faible et sous influence des grands pôles voisins. > En région Poitou-Charentes Angoulême • Groupe 5 Aires urbaines vieillissantes. Les dynamiques économiques et démographiques sont faibles et la population des 60 ans et plus est en forte hausse. Les employés et ouvriers sont l'essentiel des actifs. L'habitat individuel et les propriétés y sont plus représentées qu'ailleurs. > En région Centre Vendôme, Montargis, Vierzon, Châteauroux > En région Poitou-Charentes Châtellerault, Cognac • Groupe 6 Aires urbaines à faible dynamisme. Elles connaissent une très faible croissance de l'emploi, et sont très dépendantes des grandes aires métropolitaines. Les conditions socio-économiques des habitants y sont plus fragiles 17% de chômage. > En région Centre Dreux les aires urbaines présentant les mêmes caractéristiques se trouvent pour l'essentiel dans le Nord de la France. Cette classification fait, entre autres, apparaître le fonctionnement en réseau des territoires. La notion émerge de système métropolitain formé par des grappes d’aires urbaines. Source ATU
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